The Underground Sistine Chapel - 009 - St. Thomas, 2021

Impression sur papier des informations du NFT

Accompagnée d’un NFT standard ERC-721 émis sur la blockchain Ethereum
Méta-données liées : fichier vidéo format .mp4
2048 x 1536 px, 7 secondes
Pièce unique (édition 1/1)

Adresse du smart contract :
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Token ID : 9

Artiste urbain parisien, Pascal Boyart a longtemps graffé les murs de la capitale avec ses fresques réalistes inspirées de Goya, Pollock ou Lucian Freud. PBoy s’intéresse aujourd’hui aux portraits monumentaux et au potentiel expressif du regard humain. Rapidement, l’artiste se tourne vers les nouvelles technologies devenant notamment le premier graffeur à apposer un QR code Bitcoin sur ses toiles ainsi que le premier muraliste à avoir transformé ses fresques en NFT, l’outil idéal pour contrer le caractère éphémère de ses œuvres et assurer la pérennité de son travail.
Cinq de ses créations disparues ont ainsi été tokenisées : Delacroix vs BCE (divisée en 2 NFT vendus 20 ETH chacun) et Le Désespéré 2019 (divisée en 3 NFT vendus 12 ETH chacun).
Ce procédé de fragmentation numérique l’a propulsé sur le devant de la scène avec sa désormais célèbre fresque La Liberté guidant le peuple 2019 réalisée pendant les manifestations des gilets jaunes en France. Bien que celle-ci ait été censurée par la préfecture de police, PBoy l’a transformée en la divisant en 100 NFTs uniques. Pascal Boyart a ensuite mis à profit les confinements de 2020 pour livrer une version moderne du Jugement Dernier, le chef-d’œuvre de Michel-Ange, au cœur d’une ancienne fonderie d’or abandonnée de la banlieue parisienne. Pour ce projet, l’artiste a fragmenté l’immense composition de la Chapelle Sixtine en 400 NFT uniques représentant autant des personnages de la fresque du Vatican.
L’exemplaire n°009 immortalise la scène réunissant saint Jean-Baptiste, vêtu de son manteau en poil de chameau, et saint Thomas, le retenant par le bras.

Parisian urban artist, Pascal Boyart as long graffitied the walls of the capital with his realistic frescoes inspired by Goya, Pollock or Lucian Freud. PBoy is now interested in monumental portraits and the expressive monumental portraits and the expressive potential of the human gaze. The artist quickly turned to new technologies, notably becoming the first graffiti artist to affix a Bitcoin QR code to his canvases as well as the first muralist to have transformed his frescoes into NFT, the ideal tool to counter the ephemeral nature of his work. Five of his defunct creations have been tokenized: Delacroix vs BCE (divided into 2 NFTs sold at 20 ETH each) and Le Désespéré 2019 (divided into 3 NFTs sold at 12 ETH each).
This process of digital fragmentation propelled him to the fore with hiw now famous fresco Liberty Leading the People 2019 produced during the Yellow Vests protests in France. Although this one was censored by the police prefecture, PBoy divided it into 100 unique NFTs. Pascal Boyart took advantage of the confinements of 2020 to deliver a modern version of the Last Judgment, Michelangelo’s masterpiece, in the heart of an old abandoned gold foundry in the suburbs of Paris.
For this project, the artist has fragmented the immense composition of the Sistine Chapel into 400 unique NFTs representing as many characters from the Vatican fresco. Copy n°009 immortalizes the scene bringing together Saint John the Baptist, dressed in his coat in camel hair, and Saint Thomas, holding him back by the arm