Bodies, 1997

Huile et sable sur toile (technique mixte) monogrammée et datée au dos

22 x 27 cm

À la fin des années 1990, Michel Potage entame un cycle autour de l’écriture et de la signalétique. Cela s’accompagne de textes, conférant à son œuvre une dimensions toujours plus poétique qui tire son inspiration directement de la rue.

"Un (long) temps alcoolique, foutraque, décalé, imprévisible, parfois délirant, Michel Potage vit dans un espace poétique chaotique mais d’une rare ampleur."
"La justesse dote son trait d’une force symbolique singulière, suscitant une émotion parfois bouleversante" écrit Olivier Cena en 2015.