La Clairière, 1970

Huile sur toile signée en bas à droite

H. 39 3/8 in L. 31 7/8 in

“Je dirais que l’œuvre personnelle de Mayo est, pour notre bonheur, placée sous le signe du merveilleux. Il est indéniable que le moyen le plus juste et le plus rapide de définir le type de peinture qui est le sien sera d’user de l’adjectif surréaliste. Il n’est pour s’en assurer que de se reporter aux évocations magiques de “Clairière” de 1970. Cette peinture de solitaire existe comme elle existe, elle célèbre magnifiquement la pulpe des choses, celle des pêches ou des seins. Elle porte avec elle, à n’en pas douter, dans les maisons où elle pénètre la tendre lumière de ses Métamorphoses comme une incitation permanente au rêve qui comme le dit Mayo lui-même : nous mène là où nous voulons être...” José Pierre, historien de l’art proche d’André Breton et figure du surréalisme de 1952 à 1969

> Ancienne collection Benoît Malliarakis, Paris > Vente Le Mouel, Drouot, Paris, le 6 novembre 2002, lot n°212 > Galerie Alain Blondel, Paris > Barry Friedman Gallery, New York > Vente Sotheby's, Londres, le 24 avril 2018, lot n°6 > Collection privée, Paris

> Evelyne Yeatman-Eiffel, Mayo, Association Mayo, Paris, 2012, reproduit p. 116