Lucie-Éléonore Riveron dans le Quotidien de l’Art : « nous sommes plus que contents d’avoir fait le choix de l’indépendance »

Drouot entre deux eaux

Drouot a été heurté de plein fouet par le confinement, provoquant d’importantes pertes financières et des licenciements économiques. Pour remonter la pente, l’hôtel des ventes déroule à pas lents la réforme impulsée par Alexandre Giquello à l’automne dernier, avec déjà quelques succès.

[…] « Dans cette situation, nous avons été plus que contents de faire le choix d’être indépendants, détaille Lucie-Éléonore Riveron, fondatrice de la maison Fauve qui a continué les ventes, en huis clos, tout au long du coninement. Nous avons chez nous notre stock, des salles, un studio, avec la possibilité de faire une semaine d’exposition, avec une indépendance
logistique totale et une rentabilité bien meilleure qu’à Drouot. Un de mes collègues qui y travaille m’a confié qu’il payait plus en transport chaque
année que moi en loyer. »

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