« Les Fleurs sauvages de l’art » de Paris à New York, 40 ans de graffiti old school

« Graver son nom, son amour, une date sur le mur d’un édifice, ce « vandalisme » ne s’expliquerait pas par le seul besoin de destruction. J’y vois plutôt l’instinct de survie de tous ceux qui ne peuvent dresser pyramides et cathédrale pour laisser leur nom à la postérité » Brassaï, Graffiti, 1961

Retour à la liste des articles