FauveParis confronte époques et styles dans sa prochaine vente « De toutes les matières »

FauveParis, la jeune et audacieuse maison de ventes parisienne organise le 16 octobre prochain, dans son grand espace du haut Marais, De toutes les matières, une vente qui mêlera arts graphiques anciens et contemporains, mobilier classique et design. Trois semaines d’exposition précéderont la vente.

C’est dans une ambiance « ouatée » que l’on découvrira au fil des pages du magalogue dédié à cette vente, un délicat retable du XVe siècle (estimé entre 8 000 € et 10 000 €), une belle série de dessins de mode des années 1920 (entre 400 € et 3 000 € chaque), une superbe Vénus de Botticelli d’Andy Warhol (35 000 / 45 000 €), des estampes de Shepard Fairey (estimations de 800 € à 7 000 €), un rare ensemble de multiples de Vasarely (de 400 € à 3 000 €), deux trésors signés Théo Tobiasse (25 000 / 35 000 €), une élégante sculpture de José Subira-Puig (3 000 / 5 000 €) et une toile monumentale de Philippe Pasqua (40 000 / 60 000 €).

On retrouvera des grands noms du design comme Eileen Gray ou la maison Jansen, ainsi qu’une sélection de meubles spécialement réalisés par les designers Olivier Gagnère et Garouste+Bonetti pour l’appartement new-yorkais de Marithé et François Girbaud, le duo mythique de stylistes (de 400 € à 3 000 €). En vente également un ensemble inédit de meubles de Jean-Michel Wilmotte commandés
par le décorateur superstar Jacques Grange (de 800 € à 5 000 €), mais aussi des prototypes étonnants de designers montants comme Alain Marzat ou Aymeric Lefort.

Seront enfin mises en vente, en exclusivité, les pièces uniques et ludiques du projet LoungeShare réalisées en moins de 48h par de jeunes designers en mêlant upcycling et prototypage rapide.

Pour Lucie-Éléonore Riveron, présidente de FauveParis : « Notre vente inaugurale avait montré l’intérêt du public, collectionneurs ou nouveaux venus, pour une approche confrontant les arts, les styles et les époques. Notre motivation est restée la même : proposer un œil neuf et décalé pour magnifier les œuvres qui nous sont confiées. »

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