Deux mois après son ouverture FauveParis atteint les 1,2 million d’adjudication

FauveParis, la nouvelle maison de ventes qui entend libérer les enchères réussit son lancement : seulement 60 jours après son inauguration et 5 ventes aux enchères, FauveParis a déjà réalisé 1 196 910 € d’adjudications.

Grâce à ses longues expositions dans des horaires extra-larges, à sa manière singulière de présenter les œuvres tant physiquement que dans ses magalogues, à l’attention portée à la pédagogie de l’enchère et à la variété de sa programmation, FauveParis est parvenue à attirer un public de curieux en même temps qu’une clientèle de collectionneurs. La salle des ventes rue Saint-Sabin a fait salle comble à chaque vente. La maison de ventes réussit ainsi son pari audacieux : libérer les enchères,
en les rendant plus accessibles et conviviales.

Ainsi, si la dernière vente consacrée aux jouets anciens a rassemblé un public de collectionneurs, elle a également vu apparaître de nouveaux amateurs : 20% des participants assistaient pour la première fois de leur vie à une vente aux enchères et 5 % des acheteurs étaient des primo-acquéreurs. Résultat : 93% de lots ont été vendus, pour 180% de l’estimation basse totale.

Lors des précédentes ventes, FauveParis a notamment vendu :
> un panneau d’Alonso Berruguete La Circoncision du Christ (vendu 100 000 €, L’Envers du décor – 13 mai 2014 – lot 127)
> une aquarelle de Fernando Botero Eva (vendue 68 750 €, L’Envers du décor – 13 mai 2014 – lot 103)
> une très jolie collection de douze pièces en jade (total de plus de 150 000 € , Sur les traces de Vasco de Gama – 11 juin 2014)
> un bel ensemble de 9 lots indo-portugais (total de 83 500 €, Sur les traces de Vasco de Gama – 11 juin 2014)

FauveParis a été choisi pour organiser le 18 septembre 2014, une vente de photographies contemporaines au profit de l’UNESCO.

Pour les deux co-fondateurs de FauveParis, Lucie-Éléonore Riveron, présidente et Cédric Melado, commissaire-priseur : « FauveParis est notre contribution pour redynamiser le marché de l’art, en moderniser les usages et y proposer de nouvelles manières de faire. En clair, pour lui permettre de continuer à se développer ! Nous sommes très heureux de constater que le public répond à cet appel. »

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